L'Atelier

Lo Studio conserva lo stesso assetto del tempo in cui l’artista vi ha lavorato. L’ambiente è parte degli antichi locali un tempo di proprietà della famiglia Borghese.
Il soffitto della stanza, unico originale e non restaurato a spese dello scultore, è a cassettoni lignei e fu dipinto intorno agli anni 1833-1839, quando la villa divenne di proprietà di Francesco Aldobrandini Borghese. Nel soffitto vi sono raffigurati gli emblemi della famiglia Borghese - l’aquila e il drago, la stella ad otto punte della famiglia Aldobrandini e i tre caprioli araldici che compaiono nell’arme de La Rochefoucauld. Il principe Francesco aveva infatti sposato Adelaide de La Rochefoucould.
Al centro dello Studio è il tavolinetto con gli strumenti da lavoro utilizzati da Canonica, ancora sporchi di gesso e gli ultimi pezzi di creta rimasta plasmando il modellino del San Giovanni Bosco, l’ultima opera cui si dedicò l’artista. Al centro dell’atelier è il cavalletto da scultore con base rotabile sul quale è esposto il bozzetto in gesso della stele del Monumento a Giovanni Paisiello.

Studio

L’Atelier garde le même arrangement de l’époque pendant laquelle l’artiste y a travaillé. La pièce fait partie des anciens locaux de propriété jadis de la famille Borghèse.
Le plafond de la chambre, le seul originel et pas restauré aux frais de l’artiste, est à caissons en bois et il a été peint entre les années 1833-1839 environ, lorsque la villa est devenue propriété de Francesco Aldobrandini Borghèse. Sur le plafond sont représentées les emblèmes de la famille Borghèse – l’aigle et le dragon, l’étoile à huit pointes de la famille Aldobrandini et les trois chevreuils héraldiques qui apparaissent dans l’arme de La Rochefoucauld. Le prince Francesco avait en effet marié Adélaïde de La Rochefoucauld.
Au milieu de l’atelier se trouve la petite table avec les instruments pour le travail utilisés par Canonica, encore sales de plâtre et les derniers morceaux de crête restée en modelant le modèle réduit de Saint Jean Bosco, la dernière œuvre à laquelle l’artiste s’est dédié. Au centre de l’atelier il y a le chevalet de sculpteur à la base roulante sur lequel est exposé la maquette en plâtre de la stèle du Monument à Giovanni Paisiello.
Dans l’atelier sont aussi conservées des maquettes préparatoires en marbre ou en bronze des œuvres transformées plus tard par l’artiste, et des études de sculptures pas réalisées. Sur les murs il y a des peintures représentant des portraits, des autoportraits et des vues de paysages exécutées par Canonica « pendant les heures d’oisiveté ». Il y a aussi une toile qui représente une Etude de mains et pieds, donnée par l’artiste à son professeur de dessin à l’Académie Albertine Enrico Gamba (1831-1883) et une autre toile titrée Blanchisseuses de Turin (1891), signée par Demetrio Cosola (1851- 1895), qui sont les seules peintures exposées dans l’atelier à ne pas être exécutées par l’artiste

Stele per il Monumento a Giovanni Paisiello
Sculpture

P. Canonica

1938
Studio di mani e di piedi
Peinture

Enrico Gamba

1854
Lavandaie di Torino
Peinture

Demetrio Cosola

1891
Tina
Peinture

P. Canonica

1890-95 environ
Ritratto di Olga
Peinture

P.Canonica

1952
Ritratto di Maria
Peinture

P. Canonica

Après 1953
Autoritratto
Peinture

P. Canonica

1952
Miss Garret
Sculpture

P. Canonica

1906
Tina
Sculpture

P. Canonica

1897